In Memoriam
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Elle
se sentait
bien
entourée
d'arbres
et d'herbes.
Elle
se sentait
bien
entourée
d'arbres
et d'herbes.
Elle
se sentait
bien
entourée
d'arbres
et d'herbes.
Elle
se sentait
bien
entourée
d'arbres
et d'herbes.
Elle aimait
les odeurs
de la forêt,
elle écoutait
son souffle.
Elle aimait
les odeurs
de la forêt,
elle écoutait
son souffle.
Elle aimait
les odeurs
de la forêt,
elle écoutait
son souffle.
Elle aimait
les odeurs
de la forêt,
elle écoutait
son souffle.
Elle aimait
les odeurs
de la forêt,
elle écoutait
son souffle.
Elle connait
la forêt
et
la sentait.
Elle connait
la forêt
et savait
la sentir.
Elle connait
la forêt
et savait
la sentir.
Elle connait
la forêt
et savait
la sentir.
Elle connait
la forêt
et savait
la sentir.
Elle
en avait
un vrai
besoin.
Elle
en avait
un vrai
besoin.
Elle
en avait
un vrai
besoin.
Elle
en avait
un vrai
besoin.
La forêt
était
sa maison,
sa terre natale.
La forêt
était
sa maison,
sa terre natale.
La forêt
était
sa maison,
sa terre natale.
La forêt
était
sa maison,
sa terre natale.
La forêt
était
sa maison,
sa terre natale.
La forêt
la soutenait,
lui donnait
de la force
à vivre.
La forêt
la soutenait,
lui donnait
de la force
à vivre.
La forêt
la soutenait,
lui donnait
de la force
à vivre.
La forêt
la soutenait,
lui donnait
de la force
à vivre.
La forêt
la soutenait,
lui donnait
de la force
à vivre.
La forêt, c'est sa vie.
Elle adorait les forêts.
Dans chaque ville, elle cherchait des îlots verts.
Elle s'enfuyait de la ville aux forêts.
La forêt, c'est sa vie.
La forêt, c'est sa vie.
Mais, chaque année, on lui ôtait ses forêts.
La mort de la forêt, c'est sa mort.